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1 mars 2024
Vous devrez choisir entre l’inhumation et la crémation selon les convictions et les volontés du défunt. L’une et l’autre doivent être effectuées au plus tôt, 24 heures et, au plus tard, 6 jours ouvrables après le décès.
L’inhumation, ou mise en terre du défunt, exige au préalable des démarches administratives liées au décès.
L’autorisation d’inhumation dans un cimetière est accordée par le Maire de la commune. Pour être enterré(e) dans une commune, il faut que le défunt soit concerné par l’une des situations suivantes :
Il faut également présenter un certificat de décès ainsi qu’un permis d’inhumer et posséder une concession dans le cimetière.
La sépulture est aménagée dans le respect du règlement du cimetière et selon les volontés du défunt ou à défaut, selon le choix de l’organisateur des obsèques.
Cette démarche est permise avec une autorisation préfectorale et sous certaines conditions : notamment en fonction de la géologie de la propriété et de son éloignement des autres habitations.
Il est aussi possible d’inhumer une urne funéraire.
la crémation, ou réduction du corps en cendres, nécessite des autorisations administratives comme celle du Maire de la commune où a eu lieu le décès.
Selon le choix du défunt, ou de la famille s’il n’a pas exprimé de souhaits particuliers, les cendres sont recueillies dans une urne après la crémation et peuvent être :
Depuis décembre 2008, la conservation d’une urne funéraire dans une propriété privée ou le partage des cendres entre différents membres de la famille ne sont plus autorisés.
Vous avez besoin d’un conseil, d’une information sur les formalités consécutives à un dècés ? n’hésitez pas à nous contacter.